Bienvenue sur la page dédié à Jean-Marie qui nous a quitté le 8 janvier 2021. A toi notre père, mari, frère, grand-père, arrière grand-père, beau-père, beau-frère, oncle et fidèle ami. Toi qui incarne aussi bien la douceur de l’amour, nous t’aimons et te garderons au plus profond de nos cœurs.

Merci à vous
Les mots me manquent pour vous remercier de tout l’amour dont vous avez soupoudré sur nos cœurs suite au décès de mon père Jean-Marie. Chacun de vos mots nous ont fait tant de bien, nous ont accompagnés dans cette épreuve que je pensais insurmontable et qui était pourtant inévitable.
Je suis si fier de ce grand homme qui était pour beaucoup un exemple, un exemple de tolérance, d’amour et de courage.
Merci à vous tous de lui avoir rendu hommage de la plus belle des façons, merci d’avoir été là pour nous, vous êtes des gens formidables.
Cérémonie
La cérémonie de Jean-Marie s’est déroulée au cimetière de Neauphle le Vieux le vendredi 15 janvier à 15h00. La vidéo de la cérémonie restera quelque jours ici :
https://www.facebook.com/jean.marie.hauser.live/
Livre d’or
Vous avez l’occasion ici de coucher quelques mots dans ce livre d’or, de vous adresser à Jean-Marie ou la personne de votre choix.
Tu as été pour moi un instrument puissant entre les mains de l'Éternel pour nous tes frères et sœurs de Versailles et du pieu de Paris. Je n'oublierai jamais les précieuses minutes passées sous les paumes bénies de tes mains par une voix autorisée, prononçant des paroles comme venues du ciel , déversées sur ma tête par le pouvoir salvateur de l'esprit de Dieu, pendant ma bénédiction patriarcale. Je n'oublierai jamais ce voyage sur les belles autoroutes de France et d'Allemagne pour nos séjours spirituels au temple de Francfort. Tu as fait ta part mon frère. Adieu, et que ton âme repose dans le sein du Sauveur du monde Jésus Christ.
Je voudrais dire que j'étais fière de l'avoir connu.
Il était une personne de confiance de joie. J'ai étais pour la 1er fois au temple e mars 2012 avec lui et ça femme j'ai reçu ma recommandation se jours la. J'ai etait fière qui soie la avec ça femme pour eux. Je suis si fière de l'avoir connu, je ne l'oublierai jamais.
Merci de m'avoir permis de vous connaître vous et votre femme...
La famille Pointel Monnier gros bisou et une grosse pensée à la famille.
Nos arrières petits enfants t'adorent et aiment se blottir dans tes bras.
Tu respires la bonté , le réconfort.
Tu as marqué mon chemin à jamais
Le bonjour à André et prenez soin de nos familles . Soyez nos bons anges gardiens. Je te dis au revoir...
Je t'associerai toujours à la douceur et au calme.
Tu étais un homme posé, qui avait un bel esprit et une belle relation avec notre Père Céleste.
Tu m'as donné ma bénédiction patriarcale et m'a scellé au Temple avec mon époux. Mais je garde surtout le souvenir de ton discours lors de la réunion spirituelle à l'occasion de notre mariage. Il fut sûrement plus long que nous l'avions imaginé (tu parlais tellement doucement et lentement) mais le message que tu voulais nous transmettre était si important! En t'appuyant sur la rencontre du Petit Prince et du renard, tu nous as instruit concernant la tendre et solide relation que nous devions construire et qui prendrait tout une vie. Sans le savoir, tu avais utilisé une histoire qui était chère à mon cœur, mais était-ce vraiment sans le savoir...?
Bon repos.
J'aurai le souvenir d'un jean marie, à la voix douce , au regard et la parole bienveillante pour nous tous, et un regard que rarement on rencontre, rempli d'amour et de tendresse envers sa femme lucille.
Sur notre livre d'or de mariage, vous nous aviez écrit une belle citation "Tant que tu vis, continue d’apprendre à vivre à deux, c'est le secret d'une vie harmonieuse. "
Désormais, je compte sur toi Jean Marie pour continuer de veiller sur les tiens, mais particulièrement sur ta femme, afin que cette harmonie ne s’arrête jamais.
Toutes nos condoléances.
jennyfer, mickael, jyll, jena et jelya.
J'ai une pensée pour Lucille.
Lucille, il faut être une femme formidable et singulière pour accompagner un homme comme lui, ou plutôt vous vous êtes trouvés et avez cheminé ensemble, côte à côte, pour vous aider l'un l'autre à grandir, à servir, et beaucoup, comme moi, ont bénéficié de vos attentions et votre générosité. Je chéris encore nos échanges qui m'ont soutenue au moment où j'en avais besoin, merci.
L'élégance d'un regard ou se reflète l'âme
Les mots coulent avec la lenteur infinie du temps
Il nous reste un sentiment de paix et ce goût de miel qui vient de l'au-delà
Maintenant il veille sur son troupeau
Il est toujours là...
Quand je ferme les yeux, je te vois sourire. Je suis profondément persuadée que tu es bien là où tu es...
Je me souviens lorsque nous venions manger chez vous à Argenteuil... cette belle et grande maison qui me faisait penser à un château avec ces plafonds hauts et ses moulures... j’adorais fouiner dans les livres de Jean-Luc et Jean-Christophe d’ailleurs et faire du bazar dans leurs chambres. Ils devaient déprimer quand on débarquait !
On vous laissait entre adultes, dans la cuisine et la salle à manger, et nous, on jouait comme des petits fous.
Tu parlais toujours calmement et posément et j’étais impressionnée de ton charisme. Ta gentillesse était exemplaire. Tu respirais la sagesse.
J’ai été si heureuse de te revoir à la fête de tata Jo... et un petit peu avant ça, au Temple de Paris (tu sortais de la visite (openhouse) avec tata Lucile et tata Jo. A 1 minute près et on ne se serait pas croisé !
Je t’embrasse fort .... tu restes à jamais dans mon cœur
Douceur, bienveillance et tendresse infinies, sans commencement de jours ni fin d'années. Comment ne pas croître et s'épanouir sous cette protection et ce levain ? Personne ne t'as jamais demandé de prendre soin de moi, et pourtant, tu l'as fait ! Seulement et uniquement par amour.
Un jour de mes 17 ans, tu m'as sortie énergiquement de ma tente avant même l'aube, ce qui m'a mise très en colère ! Ahah ! Bien fait pour moi : c'était pour que je sois inondée d'une extase indicible devant la beauté saisissante de l'explosion de couleurs du plus merveilleux lever de soleil qu'il m'ait été donné de contempler ! Sa majesté émergeant du lac du Bourget...
15 ans plus tard, tu pleurais de joie en me retrouvant, fille prodigue de retour au bercail. Tu pleurais...
Tu as donc achevé toute ton œuvre sur la terre. Mais je sais que ton amour sans fin, qui ne m'a jamais quittée, continue dans les éternités. Nous tous, tes bien-aimés, t'y rejoindrons.
Un gros bisou à Jean-Albert !
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.
CANON HENRY SCOTT-HOLLAND, TRADUCTION D’UN EXTRAIT DE THE KING OF TERRORS, SERMON SUR LA MORT, 1910.
Images de vie
Ecoutez votre cœur
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et et la vie continue !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,
Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai !
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! – Poème amérindien